En Novembre 2007 Julie Mehretu apparu sur un panneau tenu au Carnegie Hall intitulé, “Toile Berlin: Nouvelle capitale des arts visuels de l’Europe,”Où elle a exprimé un étonnement retrouvée avec une ville qui a été légendaire pour son histoire des artistes prolifiques, intellectuels, mais surtout l’antisémitisme. Dans le cadre de la «Berlin in Lights,«Festival, ce panneau a tenté d’assainir l’air et apporter de la visibilité renouvelée de cette ville historiquement volatile, une caractéristique qui a fait surface dans les journaux de Harry Graf Kessler, d’abord publié en 1971 avec le même titre. Contrairement tableaux abstraits américains qui sont visuellement pondérés par la densité du milieu, Julie Mehretu a construit différentes notions d’espace, proches de la peinture nouvelle objectivité qui semblaient initialement au Guggenheim lors de son ouverture en 1959. Situé dans l’une des petites galeries latérales du musée, Les peintures de MEHRETU murer immédiatement le spectateur dans un petit espace pendant leur mise en liberté, visuellement. Chaque tableau est de 10 pieds par 14 pieds et tire un dans le cadre de l’espace illusionniste, celui qui est tellement aléatoire que la lumière et le mouvement de travailler ensemble et entièrement métaphore jupe.
“Fragment,” (2008-09) par exemple, dispose d’un tourbillon de nuages noirs et gris qui a éclaté à partir de la ligne complexe- et treillis voir ci-dessous. De légères lignes de structures architecturales apparaissent dans les marges, mais leurs formes squelettiques sont tout à fait secondaire, après coup. De l’autre côté, “Places à Berlin,” (2008-09) capture une couche, l’image en terrasse et tissé de divers bâtiments en pierre hétéroclite qui peuplent chacune des célèbres points de rassemblement de cette ville. Contrairement à la plupart des centres urbains, la métropole de Berlin se compose de nombreux, parler non seulement de son immense population, mais son caractère de complexité.
“Mur de l’Atlantique,” (2008-09) révèle un choix encore plus dense de marques que de tag, croix-, mettre en évidence et de déconstruire l’objet tout à la fois. “Palace Croyant,” (2008-09) et “Notations,” (2009) sont moins colorés et porter une échelle de gris dense. Toutefois, les deux reflètent une intensité qui surpasse les autres, confirmant que le sujet de ces peintures Berlin inspirés est celui de la construction et de la destruction, une relation dichotomique qui n’est jamais réconcilié. “Moyen Gris,” (2007-09) tours cette petite suite et, comme le plus ancien, reflète plus des arabesques et une palette de couleurs est caractéristique du style de Mehretu.
Au printemps de 2007, Mehretu a reçu le Guna S. Mundheim Arts visuels Fellow à l’American Academy de Berlin qui a conduit l’artiste dans une enquête de deux ans de la ville ainsi que son espace, l’histoire et les gens qui ont finalement abouti à “zone grise,”Une série de six tableaux dont la première à la Deutsche Guggenheim en Octobre 2009 avant de se rendre à New York au printemps sur 2010. Berlin est une ville compliquée pour trop de raisons pour ne citer. La 1927 film muet intitulé, “Berlin: Symphonie d’une grande ville,”Tenté de capturer cette métropole Post World War I comme celui qui était encore relié au monde, un centre international où beaucoup désiraient voyager vers et à partir. Mais c’était six ans avant l’ère fasciste de dix ans de l’Allemagne, celui qui a presque éliminé l’histoire prolifique de la ville. Maintenant que le gouvernement allemand a déménagé son siège social à Berlin, avec une poignée d’artistes curieux, des intellectuels et des voyeurs, Mehretu suggère que ceci peut être fait à nouveau, succès.
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