Contributeur invité Jonathan Stevenson / Wall Street débrouillard Jordan Belfort et sculpteur Camille Claudel eu peu en commun, et les films récents sur la vie de chacun sont apparemment très différent. Encore Martin Scorsese et Bruno Dumont partager une approche narrative – d’autres l’ont appliquée avec moins de succès – que les centres sur la répétition qu’occasionnellement ponctuées par un mouvement de terrain. Dans Le Loup de Wall Street, Scorsese utilise trois heures scandaleux pour étudier la dépravation gai de Belfort et ses sbires, gagner notre jugement sévère des prédateurs de Wall Street par nous agresser avec épisode après épisode de leur hédonisme solipsiste. Dans Camille Claudel 1915, Dumont simule la monotonie cruel de vindicatif trente ans confinement du sculpteur dans un établissement psychiatrique gothique par l’intermédiaire d’un film insidieusement terne, utilisant l’une des actrices moins ennuyeux du monde – Juliette Binoche – à conduire à la maison son point. La technique répétitive m’a mis dans l’esprit de la tendance de l’ancienne génération des peintres de présenter, dans un spectacle donné, variations sur un thème visuel unique.
[Image au dessus: Joan Witek, Untitled (P-156), 2011, bâton à l'huile sur toile, 24 x 24 pouces. Avec l'aimable autorisation de sortie Fine Art, Brooklyn.]
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