Sylvain Chauveau est un de ces artistes que nous entendons mentionné beaucoup, mais il s’est avéré étrangement insaisissable quand il s’agit de traquer son travail. Le plus connu (et plus facile à mettre la main sur) est son séminal album Fat Cat ‘Un Autre Décembre’ qui lui mis en place comme l’un des représentants de la musique électronique / classique de premier plan du monde, mais Sylvain avait déjà été la libération de dossiers bien avant que l’album a frappé les étagères. «Le livre noir du capitalisme’ paru dans 2000 sur l’empreinte DSA français et britanniques rives malheureusement jamais touchés, mais de type (Nouvelle base de Sylvain des opérations) ont réussi à mettre sur pied une version remasterisée glorieusement et reconditionné pour le reste du monde pour entendre enfin. Ceux d’entre vous qui ont été séduit par l’artiste de Stark, son minimal pourrait être choqué d’abord à entendre la variété de l’offre; «Le livre noir du capitalisme’ est loin d’être un simple enregistrement de musique classique, et montre une largeur de son jamais vu encore dans le catalogue de Sylvain à jour. De la triste, délicat piano travail de «Et un Peu Peu-les-Flots…’ nous sommes transportés à travers un véritable numéro de cirque de l’expertise musicale gallique, avec le doom jazz presque Bohren-esque de «Hurlements en faveur de Serge T.’ et à travers un conte de fées avec carillon »Derniere Etape avant le silence». Il ya près de traces du travail de Angelo Badalamenti perdus dans les gorges ici, avec le monde vaporeux du cinéma européen suintant de toutes les fissures et ponctuant les compositions de Sylvain à la fois la confiance et un humour habile. Il pourrait être de plus de huit ans, mais rien de l’album a été perdu avec le temps, il a mûri avec l’âge, montrant de nouvelles profondeurs et caractère avec chaque année qui a passé. Avec «Le livre noir du capitalisme’ Sylvain a présenté son travail le plus large à ce jour et c’est un véritable plaisir de pouvoir l’entendre à nouveau dans toute sa splendeur. Boomkat
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