Badaud. 2012. Réalisé par Alex Karpovsky. Écrit par Alex Karpovsky et Garth Donovan. Produit par Garth Donovan, Michael Bowes, et Adam Roffman. Image Beecher coton. Edité par Garth Donovan et Alex Karpovsky. Musique James Lavin. Création des décors Lindsay Degen. Sound byCharlie Anderson et Will Lautzenheiser.
L’acteur et réalisateur Alex Karpovsky a été un incontournable dans les dernières années en faible budget indies américains, dont beaucoup sont tombés sous la rubrique (si je déteste le terme) de "mumblecore." Pour beaucoup de ces films, tous deux réalisés par lui-même et par d’autres, il est une présence affable et sardonique, qui a établi des comparaisons dans de nombreux quartiers de Woody Allen. Souvent, dans les personnages qu’il joue, un courant de fond plus sombre est révélé que se trouve sous la façade amical présenté au monde. Jusqu’à présent, au moins dans ce que j’ai vu jusqu’à présent de son travail, tout cela existait plus ou moins solidement dans le domaine de la comédie. Cependant, Badaud, son dernier film en tant que réalisateur et acteur principal, lui tient territoire très différent; il est lunatique et un morceau atmosphérique, plein de crainte rampante, une réflexion émotionnelle de son protagoniste tourmenté. C’est essentiellement une histoire de rôdeur, dans le mode de films tels que Psycho et Peeping Tom; à la suite, la trajectoire narrative va assez bien la façon dont on pourrait s’attendre une fois que la nature obsessionnelle de son personnage principal devient entièrement établie. Mais comme l’affirme le dicton, c’est sur le voyage, pas la destination, and Karpovsky delivers a compelling and skillfully rendered trip through his character’s trauma-scarred psyche.
Paul Harris (Karpovsky), BadaudDu personnage central, est un scientifique dans un laboratoire de recherche dans la banlieue
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