Tribeca Film Festival 2012 Examen: Alex Karpovsky de “Badaud”

Tribeca Film Festival 2012 Examen: Alex Karpovsky de “Badaud” Garth Donovan Alex Karpovsky

Badaud. 2012. Réalisé par Alex Karpovsky. Écrit par Alex Karpovsky et Garth Donovan. Produit par Garth Donovan, Michael Bowes, et Adam Roffman. Image Beecher coton. Edité par Garth Donovan et Alex Karpovsky. Musique James Lavin. Création des décors Lindsay Degen. Sound byCharlie Anderson et Will Lautzenheiser.








L’acteur et réalisateur Alex Karpovsky a été un incontournable dans les dernières années en faible budget indies américains, dont beaucoup sont tombés sous la rubrique (si je déteste le terme) de "mumblecore." Pour beaucoup de ces films, tous deux réalisés par lui-même et par d’autres, il est une présence affable et sardonique, qui a établi des comparaisons dans de nombreux quartiers de Woody Allen. Souvent, dans les personnages qu’il joue, un courant de fond plus sombre est révélé que se trouve sous la façade amical présenté au monde. Jusqu’à présent, au moins dans ce que j’ai vu jusqu’à présent de son travail, tout cela existait plus ou moins solidement dans le domaine de la comédie. Cependant, Badaud, son dernier film en tant que réalisateur et acteur principal, lui tient territoire très différent; il est lunatique et un morceau atmosphérique, plein de crainte rampante, une réflexion émotionnelle de son protagoniste tourmenté. C’est essentiellement une histoire de rôdeur, dans le mode de films tels que Psycho et Peeping Tom; à la suite, la trajectoire narrative va assez bien la façon dont on pourrait s’attendre une fois que la nature obsessionnelle de son personnage principal devient entièrement établie. Mais comme l’affirme le dicton, c’est sur le voyage, pas la destination, and Karpovsky delivers a compelling and skillfully rendered trip through his character’s trauma-scarred psyche.

Paul Harris (Karpovsky), BadaudDu personnage central, est un scientifique dans un laboratoire de recherche dans la banlieue Boston, un environnement nettement antiseptique qui s’adapte le masque de logicité et de la normalité que Paul porte, et qui se glisse peu à peu que le film progresse. Ce dévoilement est mis en mouvement à la suite d’un week-end Paul dépense ayant un rendez-vous sexuel avec sa collègue Danielle (Jaime Ray Newman).Danielle considère ce une chose une seule fois, au grand dam de Paul, qui huit mois plus tard, est toujours incapable de lâcher, et passe ses journées dans maladresse torturé à toujours être en présence de Danielle quotidienne au travail. Même s’il s’applique au travail à d’autres laboratoires, il ne peut pas tout à fait se résoudre à quitter son emploi, peut-être dans l’espoir de raviver, ou plutôt, commencer une relation avec Danielle. Sa seule consolation pendant son désir est le temps qu’il passe avec sa sœur Linda (Amanda Bon Hennessey) et son fils, ainsi que la satisfaction de ses désirs sexuels avec Kathy (Dakota Shepard), une escorte payé qu’il fréquente. Quel que soit espoirs s’évanouir Paul ports d’obtenir n’importe où avec Danielle sont anéantis quand elle commence de voir Chris (Dennis Staroselsky), un nouvel employé au laboratoire. Cela libère le désespoir, colère, et pulsions violentes que Paul a jusqu’ici très soigneusement cachés des autres, leading to extreme and irreversible consequences.





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