Certainement pas plus au Kansas, Michelle Manley évalue un F5 sur le compteur Rêveries.

Certainement pas plus au Kansas, Michelle Manley évalue un F5 sur le compteur Rêveries. Michelle Manley (au-dessus, Michelle Manley, Accrue Alerte je, acrylique à bord, 30 x 30)


Récemment, j’ai eu l’occasion de rencontrer des artistes Michelle Manley dans son studio Lower East Side. J’ai été intrigué par son travail pendant un certain temps, après elle est venue à mon attention en premier l’automne dernier. Pour moi ses peintures non seulement évoquent les horreurs de scénarios de catastrophes naturelles, mais à leur base se trouve une compréhension globale de la futilité de la bataille en cours de l’homme vs. nature.


Certainement pas plus au Kansas, Michelle Manley évalue un F5 sur le compteur Rêveries. Michelle Manley
Peut-être que la foudre ne frappe fois? Dans ce cas,, très peu probable, parce Manley électrise avec chaque nouvelle œuvre dévoilé. Ci-dessus est Dynamo. Avec la juxtaposition de ciel bleu brillant placé contre un paysage pastoral involontaire, le spectateur est laissé en suspens, comme si regarder une scène qui n’a pas encore tout à fait eu lieu, mais est néanmoins familier. Le boulon d’or de clignotant vers le bas sur la ligne d’arbre a un halo violet subtile, qui attire l’œil avec des couleurs popping, ainsi que sert un rappel de ce qui pourrait venir après la tempête– des ténèbres, en lumière.


Certainement pas plus au Kansas, Michelle Manley évalue un F5 sur le compteur Rêveries. Michelle Manley


Manley a une approche habile de ses peintures. À partir des images dramatiques, elle trouve des anomalies climatiques — ceux peut-être prise par les Stormchasers se– elle les tord alors juste un peu biaisé. L’artiste utilise Photoshop pour créer des scènes de nature largement décousu. Où une fois posé une rivière, ou des terres agricoles dans les nuages ​​en entonnoir, est maintenant une route de campagne à deux voies, qui semble ne pas vouloir savoir ce qui est plus bas sur la route. Jetez un oeil de plus près à la ligne peinte fragile de l’épaule de la route.


Certainement pas plus au Kansas, Michelle Manley évalue un F5 sur le compteur Rêveries. Michelle Manley


Manley utilise également un code couleur alerte élevé en l’honneur du système Homeland Security Advisory célèbre. En regardant dans les contours sinnous des formations nuageuses, subtiles touches de rouges, oranges, et magenta remuer entre gris et fusains, de l’huile sur le feu. Rouge semble se référer à un F5; orange, F4; rose pastel peut-être un F2. Tourbillons se déplacent çà et là à travers les œuvres de Manley, cibler leurs victimes innocentes d’un mouvement aléatoire qui n’épargne aucun sur son passage. Routes qui n’étaient pas là avant tout d’un coup apparaissent, puis disparaissent, dans le ventre de la bête. Le travail à gauche ci-dessus ne semble pas être faite à partir des cieux, mais les entrailles de l’enfer; sa bouche béante avalant tout sur son passage.


Certainement pas plus au Kansas, Michelle Manley évalue un F5 sur le compteur Rêveries. Michelle Manley


Dans Rupture, Manley imagine trois granges minuscules fixés sur les terres agricoles vierges qui ont ingénieusement été donné leur propre tornade de goût. Comme ils le disent, “Un poulet dans chaque pot.” Dans le cas de Manley, pour chaque Dorothy méfiance, il y aura un 2×4 à impail. J’ai apprécié énormément cette scène parce qu’elle me rappelle des marais et des chevaux fermes au nord de Boston à Newburyport. Les tornades semblent être un point de référence central pour le jour du jugement dernier– punir les brahmanes pour les péchés de leur passé puritain.


Certainement pas plus au Kansas, Michelle Manley évalue un F5 sur le compteur Rêveries. Michelle Manley


Le travail de Manley peut actuellement être vu au 8 Avril dans une exposition de groupe célébrant l’histoire des femmes au Soho Creative NY à 73 Warren Street à Tribeca. Cliquez ici pour les directions.


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