Œuvres complètes de Adolpho Arrietta sur DVD

Œuvres complètes de Adolpho Arrietta sur DVD Arrietta Adolpho Arrietta


De ses premiers courts-métrages tournés à Madrid dans les années 1960, ses premiers longs métrages réalisés à Paris dans les années 1970, son acclamé par la critique Flammes (réédité à Paris ce printemps par Capricci), son plus tard, caractéristiques plus ambitieux encore rarement vu dans les années 1980 Grenouilles et Merlin, à ses essais personnels dernières tournées en numérique, le travail de Adolpho Arrietta couvre une multitude de styles et de thèmes, tout en offrant une grâce singulière, une sensibilité poétique et un oeil vif pour la composition rafraîchissante, rythme et du caractère étude.


Le coffret comprend cinq DVD avec livrets, textes critiques et de nouvelles introductions aux films, avec sous-titres en anglais, Français et espagnol. Tous treize films achevés de Arrietta de 1965 à 2008 sont inclus dans la coupe de leur plus récent directeur, et remasterisé à partir des meilleures sources disponibles.


Votre soutien nous aidera production complète de ce coffret ambitieux. Vous pouvez commander ce lien. Les DVD seront expédiés en Septembre.


LES DVD


1. “L’Ange Trilogy”: Courts métrages tournés en début surréalistes Madrid et Paris.


CRIME DE PIRINDOLA (1965, 16mm, 18′)
L’imitation de ANGEL (1966, 16mm, 21′)
JOUET CRIMINEL (1969, 16mm, 37′)


2. Éléments comiques entrer ces fonctionnalités apportées avec la communauté de travesti de 1970 Saint-Germain-des-prés.


Intrigues SILVIA COUSKI (1974, 16mm, 71′)
TAM TAM (1976, 16mm, 57′)


3. Deux chefs-d’œuvre, sur la base de Sade, avec le soutien de Duras, et avec Françoise Lebrun, Dionys Mascolo et Caroline Loeb.


POINTILLY (1972, 16mm, 39′)
FLAMMES (1978, 16mm, 82′)


4. Avec des budgets de production plus élevés, Arrietta branches sur dans la narration plus fantastique. Merlin, sa seule fonction tourné en 35mm, est une adaptation de la pièce de Cocteau “Chevaliers de la Table Ronde.”


GRENOUILLES (1984, 16mm, 35′)
KIKI (1989, 16mm, 22′)
MERLIN (1990, 35mm, 58′)


5. Les films de Arrietta deviennent plus personnelle, retour à l’équipement et amateur Casting et équipe réduite. Dans son dernier essai Permanent Vacation, Arrietta découvre avec enthousiasme et embrasse l’édition numérique à la maison.


ECO Y NARCISO (2003, DV, 19′)
PERMANENT VACATION (2006, DV, 29′)
Dry Martini (2008, DV, 7′)


“Un jeune Espagnol en dehors de tout système, de chaque clique, de toute influence, dossiers sur les 16mm (Depuis cinéma pour lui ne peut pas être seulement une profession) les illusions déchirantes tranquilles qui expriment, mieux que si il avait préparé des actes d’accusation, l’état d’esprit d’une génération pour qui la poésie est aujourd’hui le seul refuge et la seule lutte possible…” Jean-André Fieschi, Cahiers du Cinéma, 1964


“Le film de Arrietta est convaincante, informatif, divertissant et beau. Son sujet est la scène travesti Paris et il est représenté avec le flair de Jack Smith, la franchise d’Andy Warhol, et la tendresse particulière de Arrietta. Je salue le poète.” Jonas Mecque, Film Journal


“Tam Tam montre le désir et la répression par la subversion des archétypes à la fois sociale (ambassadeurs, étoiles, artistes) et sexuelle (homophiles, travestis, transsexuels), et la conversion de ceux-ci dans un compte plus précis d’un certain type de malaise: une crise d’identité. [...] Arrietta propose une vision éblouissante de ces micro-univers comme vu de l’intérieur, du lieu même de leur oppression: un admirable exemple de cinéma-vérité confirmée par la recherche inlassable de nouveaux niveaux d’expression.” Raphaël Bassan, Cinéma Différent


“Chaotique, souterrain, fuyant les normes du cinéma commercial, la pièce maîtresse de la lifework de Arrietta est un film d’une nature plus classique que ses autres, Flammes, et il est aussi son chef-d’œuvre. Flammes occupe une place dans son travail comparable à Chelsea Girls pour Andy Warhol: ils auraient été joyaux de la couronne dans l’histoire du cinéma classique si seuls les noms de leurs créateurs ne sont pas si radicalement associés avec les mouvements sociaux.” Isabelle Regnier, Le Monde



“Adolpho Arrietta, ce Cocteau espagnol vivant en exil dans les années 70 de métro parisien, ce film poète de travestis du monde de Marguerite Duras, savait trop bien que «vivre votre imagination’ ne signifie rien, en particulier dans le cinéma, soi-disant la forme d’art de l’imagination elle-même. Être piégé à l’intérieur d’une maison de nombreuses portes qui un flux de caractères visite passent leur ouvrant de, fermeture et frapper sur, si elles sont traitées ou non, ce film permet de mieux évoquer la possibilité d’un monde extérieur.” Luc Chessel, Les Inrockuptibles


“Vacanza permanente est sans doute plus rudes film de Arrietta: l’effort qu’il fait peut être ressentie, mais il est tout cet effort qui est très émouvant quand on sait le reste de son travail. Nous sommes dans son laboratoire, regarder le chercher grâce à des objets les plus ordinaires, des possibilités dans quelques visages et des gestes, des fragments de fiction dans certaines juxtapositions de scènes, des fantômes sur un écran de télévision: ‘M’enchantent,’ le cinéaste semble murmurer à tout qu’il filme.” Marcos Uzal, Vertige #39


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