Tôt hier un ami à travers l’Atlantique m’a envoyé: “Ce soir, au Parlement, le fusible a été allumé pour l’implosion de la Belgique en soixante jours.” J’ai entendu beaucoup catastrophisme de ce genre au cours des années, mais c’était un peu plus spécifique. L’essentiel semble être que le flamand demander un certain nombre de villes de l’anneau autour de Bruxelles et de les rendre flamand par décret, ce qui signifie que les résidents (qui peut, en fonction de la ville, être en grande partie ou même majoritairement francophone) recevront les bulletins de vote ne nommant que les candidats flamands, avoir accès qu’aux écoles flamandes, face à des fonctionnaires qui refusent de parler ou de répondre aux Français, etc. Cette façon détournée traite de la question qui a empêché la Belgique de se diviser en deux parties à ce jour: que Bruxelles est à la fois extrêmement francophone et en même même temps la capitale de la Flandre. Les militants flamands semblent être sur leur chemin à faire de Bruxelles une ville flamande que cela lui plaise ou non, une tâche qui peut également impliquer la purge de la–largement francophone–populations immigrées.
Si la Belgique se divise en deux, Flandre se disputeront avec la Norvège pour le sommet de la chaîne alimentaire de l’Union européenne, tandis que la Wallonie brouiller avec le Portugal pour le fond. Comment tout cela est possible, vous demandez, dans une étable, Première nation prospère du monde? La question peut ou ne peut pas revenir à la bataille des Eperons d’or en 1302, comme la mythologie flamand réclamerait. Il va certainement revenir à la dix-neuvième siècle, quand après l’indépendance de la classe dirigeante du pays parlait français et marginalisé la flamande, qui pourrait, par exemple, être arrêté, essayé, et condamné sans comprendre les accusations portées contre eux. Mes ouvrières et paysannes ancêtres ne parlaient pas français, non plus, et ont été eux-mêmes marginalisés, mais en tant que conférenciers wallonnes ils pourraient au moins prendre les rudiments d’une autre langue romane.
La question chauffé après la Première Guerre mondiale, quand le fait que les militants flamands avaient pris parti pour les Allemands occasionné rancune publique. Un ensemble similaire de questions provoqué des troubles après la seconde guerre mondiale, mais il a fallu attendre les années 1960 que le sujet est venu à dominer la vie quotidienne de la nation. Les industries lourdes de Wallonie–acier, textiles, charbon, verre–étaient morts ou moribonds, et en Flandre, une fois en grande partie rurale et en arrière, avait pris l’initiative économique. Les séparatistes flamands ont obtenu une nouvelle crédibilité en soulignant leur refus de porter le malade Sud financièrement. Je me trouvais en Belgique 1969, lorsque le bilinguisme autrefois à l’état chargé et universel terminé sous pression, avec l’autre langue étant peint sur des panneaux routiers, disparaître les menus et les horaires des trains, l’Université de Louvain / Leuven se diviser en deux parties, et ainsi de suite. Depuis, il a été un mouvement lent dissoudre.
Vous pouvez comparer la situation à celle de l’ex-Yougoslavie: des différences mineures entre les populations voisines avec beaucoup de métissage sont exacerbées après l’ancien dépassement, colonisé, et zone exploitée–que l’avenir Belgique fut pendant des siècles avant 1830–récupère son autonomie. Pourtant, Je ne m’attends pas à la situation de beaucoup de sens pour les étrangers. Il ne fait guère de sens pour moi, mais même si je porte un passeport belge, j’ai passé la plupart de ma vie à l’étranger. La Belgique est un pays malade. Flandre–dans lequel j’ai une très peu d’amis–est inquiétant sous l’emprise d’éléments d’extrême-droite, tandis que la Wallonie–la maison à ce qui reste de ma famille–est un marécage de corruption et d’incompétence institutionnalisée. Je porte toujours un passeport belge parce, ironiquement, Je n’ai pas de conviction dans les pays et n’a pas de sens de toute nature de l’identité nationale. (Je suis, ethnique, près d’un cent pour cent wallonne, pour tout ce qui vaut la peine.) Est-ce que ma maison ancestrale plongeon au statut Seconde Guerre mondiale? Sera-ce calé comme un cadavre dans un fauteuil par l’Union européenne? Est-il être adopté par la France si elle remue la queue assez dur? Ce que quelqu’un n’est pas immédiatement affectée même avis?
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