Christian Zacharias: Un pianiste d’idées

Christian Zacharias: Un pianiste didées Christian Zacharias Beethoven


Un collègue que je montais l’ascenseur avec la nuit de jeudi, que je me dirigeais à Alice Tully Hall à entendre le pianiste Christian Zacharias, me demanda pourquoi il est parmi mes musiciens préférés de vie. Je répondis: parce qu’il est un pianiste d’idées. J’apprends toujours quelque chose d’important sur les compositions qu’il accomplit, sur les compositeurs dont les œuvres qu’il joue, sur la musique en tant que telle, de la façon dont il joue. Jeudi soir n’était pas différent, mais les détails se sont révélés être des choses que je vais penser à aussi longtemps que j’ai de la musique dans l’esprit. The very first of them is the underlying question of how the abstract sounds of music convey ideas.


Le programme lui-même a proposé un point de vue personnel—la première moitié serait doté d’une sonate de Beethoven au début, la “Funeral Mars” (Sur. 26), à partir de 1801 (entre les premier et deuxième symphonies), alors que le compositeur était âgé de 31 années, suivie par les Moments Musicaux de Schubert, un groupe de six images musicales ou des morceaux de l’humeur de la fin de sa courte vie. Puis, La kaléidoscopique de Schumann “Kreisleriana,” un ensemble de pièces très expressives vise à encapsuler les mondes fantastiques de E. T. A. Hoffman, et, en conclusion, pas de grand travail de la virtuosité et le tonnerre, mais encore plus tôt, courte, et apparemment plus légère sonate de Beethoven (Sur. 14, Pas. 2), from 1799.


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